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Sybille de Bollardière

chroniques

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absence et écriture

13 Juillet 2009, 21:39pm

Publié par Sybille de Bollardiere

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Quelques vacances nécessaires, le stylo à la main en ce qui me concerne, me feront déserter le blog pendant une partie de ces semaines d'été. Vous retrouverez bientôt la suite des aventures des héros de l'Amour en Zone Inondable pour lesquels je prépare aussi une version papier. très bonnes vacances à ceux qui partent et aux autres je souhaite de belles découvertes, le meilleur de l'été.

En attendant, je vous invite à aller visiter les pages où vous pourrez retrouver des liens pour lire les premiers épisodes de l'Amour en Zone Inondable, pour relire les pages de "L'Orange de Mars" et découvrir le prologue de MU GHINDO à paraître.


A bientôt

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Vos commentaires

2 Avril 2009, 19:54pm

Publié par Sybille de Bollardiere


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Ici  votre page, un espace où vous pouvez commenter articles, blogs ou encore "Une femme d'argile" (Choisissez "Ecrire un commentaire en bas de page" il sera publié dans cet espace avec l'article en référence.)

 

Chaque image est un aveu

Souvent derrière les mots se cachent des images, des silences, de l'indicible, qui nous pousse à écrire. Oui, des orpailleurs... Joli texte pour dire ce qui se cache dans la nuit des mots, la nuit blanche comme page. Patrick D.

 

 

Telle qu'elle était gravide et nue

- C'est superbe ! D' autant plus qu'il se passe quelque chose de fort, en vous, que l'on perçoit. A tel point que je me permets cette question : êtes-vous certaine de la fin ? Le double cliché de la lune qui accompagne et plus encore du "miroir des eaux" m'a sorti brutalement du rêve cauchemardesque où j'étais plongé. ... Merci de ces précisions... je le lis mieux maintenant. Et je suis confirmé dans mon sentiment que les deux derniers vers n'expriment qu'une idée, d'où l'absence d'image poétique personnelle et les clichés. Je comprends aussi que vous teniez à cette idée... que le roman exprime de façon poétique ? Il faut que je me le commande, au fait !Antoine

- Qu'est-ce que c'est beau ! On se sent transporté par vos mots dans votre barque où la poésie baigne dans chaque pan de paysage.Il y a de la sérénité dans ce silence que vos sons portent avec une douce harmonie.Merci, Sybille, de nous enchanter ainsi.
Bon dimanche à vous. M.

Ce pays

- si la "culpabilité" nous envoie paître et penser, alors, tant mieux. Ta vigilance poétique est remarquable. E.

La voie d'accès

- Te rappelles-tu la longue phrase dans la contemplation déviée de l'arbre, la rue, l'homme, la plus belle qu'on n'écrira jamais pour cause de bras ballants ce jour-là et de toute tension vers l'extérieur où ventre et yeux adhèrent sans avoir besoin, enfin, de l'exprimer autre que par l'instant miraculeux de l'avoir vue, mais vue ? ps: dans l'attente de te lire très prochainement sur papier, il est rudement émouvant de rouvrir avec toi ce "journal" Emmanuelle

- Je retrouve ici tant de ce que ressens dans mon écriture. C'est merveilleusement exprimé et dit bien les joies et les tortures, l'exhaltation et le découragement.Merci pour cette belle page. Elle me fait du bien. M.

- Ce matin je lis votre texte; c'est drôle, je viens de passer une partie de la nuit sur une page blanche, camouflée à peine par quelques traits, la distorsion grossière de mes pensées, et j'ai fini par m'endormir de dépit avec la sensation malaisée de conserver captif un élan en moi; oui parfois, souvent même c'est douloureux; j'ai lu il n'y a pas si longtemps" Autoportrait de l'auteur en coureur de fond" de Murakami" où l'auteur se raconte, et opère l'aller-retour entre ses deux expériences de coureur et d'écrivain; moi qui coure également, je peux ajouter que finalement, la plus plus grande partie du chemin consiste à éprouver le doute et la douleur (évidemment, il faut relativiser ce dernier mot), mais pourquoi poursuit-on alors... Me concernant (en résumant), c'est pour ressentir, de temps en temps, cet état de grâce où tout me porte et tout m'emporte, où je m'oublie et où je suis entière, et puis, la ligne d'arrivée, bien sur... Ah la ligne d'arrivée... (j'ai pris ici un peu de place, je m'en excuse...) Lilas

Seules quelques étoiles

-je reviens d'une ballade matinale, et la lecture de ton texte y fait délicatement écho...

La Loire, l'enfance de Julia

-C'est comme ça pour moi:un texte me seduit totalement si j'y découvre une "perle". Une expression,un mot, une tournure de phrase. Et ce "lestée de nos rèves" est tout simplement magnifique !! Ali

-Oui, il y a un parfum romanesque où je vais me lover (ou que je vais explorer), dès que j'aurai acheté Une femme d'argile, ce qui ne saurait tarder, R.

 Le Fleuve

Le saisissement qui vous interdit devant la beauté d'un paysage.... Oui, c'est quelque chose que le lecteur ne peut qu'apprécier pleinement.
Nous avons tous un jour vécu un instant proche de celui-ci.
Tous mes encouragements pour la suite.
Amicalement. Marianne

Je déménage et tout s'empile autour de moi

- En Algérien on dit:" Bedel l'Mrah testrah !!"Comment traduire ça tout en respectant le sens de l'Adage? Je dirais : "Change d'endroit tu te sentiras mieux !!"
Personnellemnt j'ai toujours adoré déménager, c'est pour moi croire en une autre vie, aimer d'autre gens...C'est comme vous le dites si bien la passion du vent ! Ali

vous savez déloger les moutons des mots. J'aime ce direct droit sensible. E.

- C' est bien beau... comme votre demeure. Antoine

La caravane bleue

- Toujours beau, nostalgique, lent ... comme ce voyage bleu Fred LR

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Manhattan 1985

24 Octobre 2008, 18:09pm

Publié par Sybille de Bollardière


Je me souviens, il faisait beau, je me suis retournée pour prendre la photo, un avion traversait le ciel si bleu de ce jour de novembre, si petit que je l'ai d'abord pris pour un oiseau. Dans l'avion plus tard, j'ai écrit ce poème :


Revoir New York

Et la femme bleue de Madison

Un soir de 'Thanks Giving' .... 

 

Harlem grelottante

Vue rose au matin du 'Pierre'

Paraissait comme Angkor

Ouverte

Il y a du jeu de société

Dans cette ville empilée

Et le dérisoire de l'Europe

Echouée là par hasard

Manhattan

Ou la saveur métallique du monde

Vu à travers la fenêtre

Et cette rugosité du marbre

Dont on ne voit que les défauts

De notre point de vue indéfendable

J'aime la vision nécrophage....

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Alexandra David-Néel

10 Juillet 2008, 12:49pm

Publié par Sybille de Bollardiere

C’est ma lecture de l’été, plus de 600 pages, un fleuve qui va m’emporter longtemps, une biographie détaillée avec des cartes où continuer le voyage entrepris  il y a des années avec un des premiers livres consacré à cette femme hors du commun.

Louise Eugénie Alexandrine Marie David, plus connue sous son nom de plume Alexandra David-Néelnée le 24 octobre 1868 à Saint-Mandé (Val-de-Marne, à l'époque Seine), morte le 8 septembre 1969 à Digne (Alpes-de-Haute-Provence, à l'époque Basses-Alpes), de nationalité française et belge, est une orientaliste, « tibétologue », chanteuse d'opéra, franc-maçonne, journaliste, écrivaine et exploratrice. Outre sa longévité (presque 101 ans), son trait de gloire le plus marquant reste d'avoir été, en 1924, la première femme d'origine européenne à séjourner à Lhassa au Tibet, exploit dont la publicité fut soigneusement orchestrée dans les années 1920 et qui contribua fortement à sa renommée, en plus de ses qualités personnelles et de son érudition. (Wikipédia) lire la suite…

L'auteur, Joëlle Désiré-Marchand sur Babelio  : 

Docteur en géographie, cartographe à l'Université d’Amiens (Picardie), Joëlle Désiré Marchand s'intéresse depuis de nombreuses années à la vie et à l'oeuvre d'Alexandra David-Néel dont le personnage et le message spirituel ont contribué à guider sa propre recherche sur la voie de la sagesse prônée par les philosophies orientales. 

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